mercredi 1 juin 2005

Il apparaît donc :

Il apparaît donc :
- que l'on peut trouver, aisément, sur le marché boursier, un certain nombre de milliards qui pourraient être utilisés pour développer les fonds propres des sociétés,- que les moyens existent (hors-cote, compartiment spécial),- que les entreprises n'y seraient pas opposées, si elles étaient assurées de na pas être mangées par les "loups".
Je peux affirmer aujourd'hui, que l'expérience que j'ai tentée devrait aboutir, en 1982, à des résultats positifs… si on m'en laisse les moyens.
Il conviendrait maintenant de favoriser la création d'une certaine information et d'un réseau plus important, à travers la France.
C'est ce que je me propose de faire, avec tous les concours, et toutes les bonnes volontés que je trouverai.Jean SALWA en 1982Les rédacteurs de l'Intercharges sont heureux, à l'occasion de cet article, de saluer leurs deux cent cinquante collègues provinciaux.
Depuis la création de la Compagnie Nationale des Agents de Change, en décembre 1968, accompagnés des délégués de province, nous n'avons cessé de faire des démarches aux Finances, à la C.O.B., et même à l'Assemblée Nationale, afin que les Bourses de Province retrouvent leur dynamisme d'avant le loi de 1962 (créant l'unicité de cotation et le retour des valeurs provinciales, cotées à Paris, sur leurs places respectives).
Seule l'unicité de cotation a vu le jour. Les valeurs sont restées en quasi-totalité à Paris, à la demande : des sociétés, de leurs Banquiers, et, souvent, de l'Agent de Change parisien, spécialiste de la valeur !
Puisque nous sommes à l'heure du changement, nous espérons que ces "points de vente " que sont les marchés financiers de Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nancy et Nantes, vont retrouver un second souffle, grâce notamment au dynamisme d'hommes comme Jean Salwa, ancien commis de Bourse.
Nous le remercions d'avoir écrit ce document pour vous.
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